Éducation

Mise à jour : COVID-19 – La pandémie du coronavirus a déclenché une crise de l’éducation d’une ampleur sans précédent depuis le début des confinements dans le monde en mars et avril. Fin octobre, plus de 600 millions d’enfants n’étaient toujours pas retournés dans leurs salles de classe, la plupart dans les pays en développement. (https://en.unesco.org/covid19/educationresponse) Cela signifie une réduction des résultats d’apprentissage et très probablement une augmentation des abandons scolaires, en particulier chez les filles. On s’attend à ce que cela se traduise par plus de 7 millions de mariages d’enfants ( https://www.unfpa.org/sites/default/files/resource-pdf/COVID-19_impact_brief_for_UNFPA_24_April_2020_1.pdf). Le Partenariat mondial pour l’Education a décidé de répondre à ce défi.

Le manque d’éducation est un indicateur de pauvreté. C’est également un facteur clé dans la transmission intergénérationnelle de la pauvreté. Heureusement, à l’inverse, aucun enfant né d’une mère alphabétisée restera illettré. Le manque d’éducation touche plus les filles que les garçons: les filles ont 50% plus de chances de ne jamais mettre les pieds dans une salle de classe que les garçons. Les solutions sont claires :

Plus de classes et d’enseignants
Former les enseignants
Fournir des latrines en milieu scolaire
Porter une attention spéciale aux filles

Le pour l’Éducation a une feuille de route qui justifie l’enthousiasme de la communauté international, avec des accroissements marqués de la scolarisation, en particulier chez les filles. Le a été lancé pour relever un défi similaire dans les pays à revenu moyen où des zones de grande pauvreté subsistent. Malheureusement, , en particulier à , ne semble pas à la hauteur du défi.